Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

virginie efira - Page 2

  • Dead man talking

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Il est 20H et notre pote William (Patrick Ridremont) vit ses derniers instants. Reconnu coupable d’homicide, sa sentence est la mort ; on s’apprête ainsi à procéder à une injection létale cependant ce programme va être perturbé par un évènement inattendu. Comme tout condamné, William a droit à ses dernières paroles et il se trouve qu’il a pas mal de choses à raconter ce qui a tendance à énerver Karl Raven (François Berléand), le nouveau directeur de la prison. Selon la loi, il ne peut être exécuté tant qu’il a quelque chose à dire et passé minuit, l’exécution devra être reportée au lendemain. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, le condamné va ainsi devenir la vedette d’un show télévisé qui va tenir en haleine des milliers de spectateurs.

    01.jpg

    Pour son premier film comme réalisateur, notre pote Patrick Ridremont n’a pas ménagé ses efforts puisqu’outre le fait d’écrire le scénario, il incarne aussi l’un des rôles principaux. Il y a une excellente idée de départ avec Dead man talking, un thriller sombre éclairé de temps à autres par un humour belge de bon aloi. Assez prenant dans sa première partie, le film a beaucoup plus de mal à convaincre par la suite la faute principalement à un personnage qui ne provoque pas la moindre empathie. Difficile par conséquent de s’intéresser à son parcours jusqu’au couloir de la mort si bien que ce qui nourrit le film devient aussi ennuyeux qu’interminable.

     

    Il faut le voir pour : Préparer correctement vos dernières paroles.

  • 20 ans d’écart

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Le départ de Vincent Khan (Gilles Cohen) laisse une place vacante à la tête de la rédaction du magazine de mode Rebelle et notre pote Alice Lantins (Virginie Efira) espérait bénéficier de cette promotion. Seulement cette femme à l’allure bourgeoise ne peut pas faire rêver le lectorat à moins qu’elle ne change son image. C’est ainsi qu’elle va se servir de Balthazar (Pierre Niney), un jeune étudiant qu’elle a rencontré dans l’avion qui les ramenait du Brésil. Alice attire désormais tous les regards et cela plait à Vincent et la revoilà dans la course pour une éventuelle promotion mais jouer avec les sentiments mène parfois à de terribles conséquences.

    01.jpg

    Cougar ou MILF, ce sont des termes qui sont aujourd’hui entrés dans le vocabulaire contemporain ; un phénomène pas si nouveau mais qu’on voit désormais partout et même au cinéma. Si on est plutôt surpris de voir le réalisateur David Moreau (Ils, The eye) se lancer dans une comédie romantique, on l’est beaucoup moins quand on se lance dans la découverte de 20 ans d’écart. Bien sur, le plaisir est quand même au rendez-vous en compagnie de la belle Virginie Efira et du candide Pierre Niney, c’est juste que ça ressemble trop à ce qui a été fait auparavant dans le genre et là l’écart est loin d’être aussi probant. Amusant mais toujours rien d’étonnant.

     

    Il faut le voir pour : Repeindre absolument votre mobylette rose !

  • Hôtel Transylvanie

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    On n’a pas tous les jours 118 ans alors notre pote Dracula a bien l’intention de réserver à sa fille Mavis une magnifique fête. Pour l’occasion, l’Hôtel Transylvanie déborde d’invités, dans cet établissement particulier vous n’y trouverez que des monstres qui s’y sentent en sécurité face aux dangereux humains. De son coté, Mavis s’estime désormais assez mature pour découvrir le monde extérieur, elle qui a toujours vécu enfermée dans ce château. Son père n’est pas très à l’aise à cette idée et crée un subterfuge pour la dissuader, cela fonctionne jusqu’à ce qu’un évènement inattendu vienne tout bouleverser. Stéphane, un humain en quête de découvertes est parvenu jusqu’à l’Hôtel Transylvanie et le comte va devoir le cacher s’il veut préserver sa réputation !

    01.jpg

    Dracula, Frankenstein, le Big foot ou encore L’homme invisible sont autant de créatures et de personnages fantastiques que vous aurez l’occasion de croiser dans l’Hôtel Transylvanie. Ce sont cette fois les studios de chez Sony (Monster house / Tempête de boulettes géantes …) qui se chargent de nous offrir un film d’animation qui malheureusement est loin d’être monstrueux. S’il n’y a pas grand-chose à lui reprocher techniquement, on ne peut pas en dire autant au niveau du contenu avec des héros qui sont tout sauf attachants et une histoire extrêmement légère. Au moins aux Etats-Unis, il s’était offert une sortie en salles pour célébrer Halloween mais là il débarque chez nous comme un cheveu sur la soupe.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire peur aux monstres !

     

    En savoir plus sur Hôtel Transylvanie 2 ?

  • Cookie

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Notre pote Adeline (Alice Taglioni) a traversé une terrible épreuve lorsqu’elle a perdu son mari et son fils au cours d’un accident de la route. Aujourd’hui, cette hôtesse de l’air vit seule même si de temps en temps sa sœur Delphine (Virginie Efira) vient squatter sa maison. Alors qu’elle revient d’un voyage, sa femme de ménage Liang Min Su (Yubai Zhang) lui confie son fils Lee Yu (Max Ding) pour une heure, le temps d’effectuer une petite course seulement, elle ne reviendra jamais. Adeline cherche évidemment à joindre la mère du petit garçon mais sans succès et cela est d’autant plus difficile qu’il ne parle pas un mot de français !

    01.jpg

    Un survol rapide de l’histoire laisse à penser qu’on nous ressert une comédie légère mais Cookie se révèle être en fait un film bien plus délicat. Déjà, il faut connaitre l’histoire personnelle d’Alice Taglioni (dont le compagnon  s’est tué en voiture) pour déceler l’écho émotionnel qu’elle peut ressentir en interprétant le personnage d’Adeline. Léa Fazer fait également preuve d’une belle retenue pour ne pas abandonner son film en une comédie populaire et encore moins en un mélo larmoyant. On ne va pas se mentir, c’est loin d’être incontournable mais avec son histoire tout en retenue c’est plutôt touchant.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à économiser un billet d’avion pour vos enfants (à condition qu’ils soient souples !).

  • Le chat potté

    aff.jpg

    Il a de nombreux surnoms mais sa légende n’en retiendra qu’un : le Chat potté ! C’est en dégustant un verre de lait dans un bar qu’il a entendu parler des haricots magiques ; une quête à laquelle il a déjà consacré de nombreuses années mais cette fois, il est tout proche du butin. Ce sont les malfaisants Jack & Jill qui les possèdent et le chat part immédiatement à leur recherche mais à l’arrivée, il n’est pas seul sur ce coup ! Un autre chat affublé d’un masque semble également intéressé et ce n’est que plus tard qu’il découvrira qu’il s’agit d’une femme du nom de Kitty Pattes de velours et qui est de plus associé à Humpty, l’ancien pote d’enfance du Chat potté.

    01.jpg

    C’était un des personnages les plus appréciés de la saga Shrek avec son regard auquel nul ne peut résister (une scène réutilisée à l’excès), il était naturel que Le chat potté ait droit à son Spin-off. D’ailleurs, il est assez décevant de ne pas voir l’ogre vert pointer le bout de son nez en guest-star mais on se contentera largement de ce distrayant film d’animation. C’est donc l’occasion pour nous de découvrir les origines de ce chat extraordinaire contrairement à l’histoire qui manque de surprises malgré un voyage dans les nuages qui ne nous mènera pas au 7ème ciel. Une bonne récréation qui sans être merveilleux fera le bonheur des grands comme des petits et c’est toujours chat de fait !



    Il faut le voir pour : Ne plus jamais manger les œufs de la même manière !

  • Mon pire cauchemar

    aff.jpg

    Leur première rencontre n’a pas été des plus cordiales et quelle ne fut pas la surprise d’Agathe (Isabelle Huppert) lorsqu’elle a vu Patrick (Benoit Poelvoorde) sonner à sa porte. Il faut dire qu’il s’agit là d’un sacré personnage qui n’a pas la langue dans sa poche et on s’étonne souvent du contraste qu’il y a avec son fils Tony (Corentin Devroey), véritable petit génie. Le hasard fait que ce dernier est un pote d’enfance d’Adrien (Donatien Suner), fils d’Agathe et de François (André Dussolier) et ça va être le début d’une longue histoire. Patrick est engagé pour faire des travaux dans l’appartement mais sa présence n’a pas l’air d’enchanter tout le monde.

    01.jpg

    Entre la réalisatrice Anne Fontaine et Benoit Poelvoorde, le courant semble merveilleusement bien passer puisque Mon pire cauchemar marque leur 3ème collaboration. Le belge forme cette fois un duo avec Isabelle Huppert qui se glisse avec une aisance considérable dans la peau de cette bourgeoise coincée. Reste ensuite à la comédie de dérouler son histoire et aux personnages de dévoiler leurs caractères malheureusement on ne se marre pas beaucoup, le couple Poelvoorde / Huppert est sympathique mais l’alchimie n’est pas là. Quant à celui formé par Efira / Dussolier, il ne réussit pas plus à rattraper le coup pour ce film au final assez mièvre.   

     

    Il faut le voir pour : Inviter votre copine à passer la soirée chez Ikea sans oublier un diner avec boulettes !